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Sans colorant, sans arôme artificiel, sans conservateur et sans gélatine… Comment NOMAD Gourmand révolutionne la pâtisserie artisanale !

Dans un monde où la couleur d’un dessert est parfois plus importante que sa saveur, NOMAD Gourmand a choisi la voie inverse. Pas celle du banal paraître, mais celui du goût véritable.

Pas de formule de facilité, mais une profonde cohérence artisanale.

À La Fare-les-Oliviers au cœur de la Provence, ce choix n’a rien d’un effet de mode. C’est un acte fondateur, une manière de poser la main sur la table (littéralement). Chaque jour, dans leur atelier, Charles et Audrey, pétrissent, montent, garnissent et goûtent... Avec pour seul outil : leur exigence !


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Plus qu'une discipline !


Renoncer aux additifs, c’est renoncer au confort. Pas de gélatine pour figer une texture trop vite, pas de colorant pour rattraper un fruit terne, pas de conservateur pour repousser le temps.Ce refus impose une seule chose : le travail juste, précis, quotidien.

Les tartes sont préparées à la main, le matin, pour être vendues le jour même. Les crèmes sont montées sans artifice, les garnitures élaborées à partir de produits bruts : farine bio de Grans, amandes de Provence, marrons Imbert d’Aubenas, fruits frais de saison. Chaque élément est pensé comme un maillon de cohérence.


Cette approche “sans filets” oblige à une rigueur de tous les instants. Pas question d’improviser : une erreur de texture, une crème trop chaude, un fruit trop mûr... Et tout est à recommencer ! Mais c’est précisément là que réside la noblesse du geste : dans cette dépendance au vrai produit, à son rythme, à son caractère.


Retrouver la vérité du goût.


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Quand on enlève les artifices, quelque chose d’inattendu surgit : le goût réel.

Le chocolat retrouve sa profondeur, les fruits leur relief, la vanille son parfum franc.

Les desserts de NOMAD Gourmand ne cherchent pas la perfection clinique d’une vitrine calibrée. Ils respirent, ils vivent, ils changent avec la saison et la météo. Une tarte aux fruits en avril n’a pas tout à fait la même couleur qu’en juillet, et c’est très bien ainsi !



Ce choix du naturel redonne à la pâtisserie sa dimension temporelle, presque vivante. Un dessert ici ne se conserve pas dix jours : il se déguste maintenant, à bonne température, quand sa texture est à son apogée. C’est une pâtisserie de l’instant et c’est sans doute là sa beauté.


La pâtisserie : un artisanat sincère !


Dans l’atelier, les gestes parlent d’eux-mêmes. Pas de chorégraphie, pas de mise en scène. Audrey goûte une crème à la cuillère, Charles vérifie la cuisson d’un fond de pâte : tout se joue à l’œil, au toucher, à l’instinct...


Cette sincérité se ressent jusque dans la dégustation. Les clients reconnaissent ce goût d’enfance, cette douceur qui ne triche pas, ce sucre mesuré qui ne masque rien. C’est une émotion simple, presque rare : celle de retrouver confiance dans ce qu’on mange.

Chez NOMAD Gourmand, “sans colorant” ne signifie pas “sans âme”. Au contraire, c’est le retour de la main, du savoir-faire et du bon sens. La modernité n’est pas dans la chimie : elle est dans la maîtrise du geste. L’innovation, ici, consiste à faire simple mais à le faire parfaitement !


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Une nouvelle définition du progrès...


Pendant des décennies, la pâtisserie a cherché la performance : plus stable, plus brillante, plus rapide. Mais à force de perfection technique, elle a parfois perdu ce qu’elle avait de plus précieux : sa sincérité !


NOMAD Gourmand choisit un autre progrès, celui de la transparence. Chaque tarte, chaque biscuit est une promesse tenue : tout est identifiable, tout est lisible. Pas de poudre mystérieuse, pas de liste d’ingrédients à rallonge. Ce choix rend chaque création plus délicate, plus sensible… mais aussi plus humaine.


C’est cette simplicité assumée qui séduit. Le consommateur d’aujourd’hui ne cherche pas qu'un dessert “Instagramable” ; il cherche le goût vrai, authentique, celui qui va le marquer.


Une philosophie qui dépasse le produit.


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Ce positionnement dépasse la technique. Il s’agit d’une éthique, d’une manière de penser le métier. Faire sans additif, c’est aussi respecter le rythme du vivant, celui des saisons, des producteurs, des matières.



La farine ne vient pas d’un silo anonyme, mais d’un meunier de Grans.

Les amandes ne sont pas une ligne de facture, mais le fruit d’une récolte en Provence.



Chaque ingrédient raconte une chaîne humaine : et NOMAD Gourmand en est le dernier maillon, celui qui met en scène ce patrimoine gustatif avec respect !

En refusant les artifices, Charles et Audrey rappellent une vérité simple : la gourmandise n’a pas besoin d’artifice pour être spectaculaire. Il suffit d’un produit juste, d’un geste sûr et d’un peu de temps.


En conclusion :


“Révolutionner la pâtisserie” n’est pas une formule. C’est un retour à l’évidence : celle du vrai goût, du travail manuel, du respect du produit. Dans un paysage gourmand où tout brille un peu trop, NOMAD Gourmand choisit la lumière naturelle. Ses desserts ne séduisent pas à coups d’effets, mais par la constance d’une main, la droiture d’un principe, et la chaleur d’une authenticité rare.


En refusant le superflu, la maison rappelle que la simplicité n’est pas l’ennemie du raffinement, elle en est la source. Et c’est peut-être là que se joue l’avenir de la pâtisserie artisanale : non pas dans la poudre de perlimpinpin, mais dans le respect du savoir-faire !

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